SYNOPSIS

Existe-t-on ? Comment existe-t-on ? Est-ce que les revendications d'une société sont des machinations qui seraient à repenser ou est-ce l'attitude des êtres qui la compose qui permet à cette société de croître, d'instaurer un pouvoir et de pérenniser ? Le dilemme ne se concentre plus dans le fait de combattre un gouvernement qui s'est implanté sur les bases d’une liberté de participation des citoyens. 

Après les actions perpétrées contre le gouvernement de A à Cerclon I, d’autres exodes ont vu le jour. De petites cités sous dôme se sont érigées dans un périmètre raisonnable à proximité de Cerclon II. Nul doute que ce soit les œuvres de Captp qui aient poussé des mentalités à se retirer des murs transparents de la cité. La nouvelle d’une rébellion s’était promptement répandue dans le reste de la péninsule désertique. Les gouverneurs des autres villes sièges ne voulant pas commettre les mêmes erreurs que A ont conclu des pactes opportuns avec les groupements les plus extrêmes qui avaient eu écho de la Volte et s'étaient reliés à la cause. Les échanges constats étaient l’une des dérogations principales de cet accord commun. Pas complètement hors champs avec approvisionnement. Quatre cités furent nommées, établies et reliées à un noyau commun faisant de Cerclon II non plus uniquement une base unique mais une ville portuaire. Chacune faisait sa loi et de son excentration ce qu’elle désirait tant que les règlements conclus avec la ville-mère étaient respectés.